Lexique de Bactériologie
Sous-titre
Salim Djelouat
Professor Medical Analyses and Medical bacteriology / Scientific Author / knolAuteur
Infographiste 2D & 3D, Webmaster, Belgique
ABORTUS
Dérive du Latin et veut dire d’un avortement.
ACIDE DÉSOXYRIBONUCLÉIQUE (ADN)Type d'acide nucléique constituant le matériel génétique de tous les organismes cellulaires : polynucléotide composé de désoxyribonucléotides unis par des liaisons phosphodi-esters.
ACIDE DÉSOXYRIBONUCLÉIQUE (ADN)Type d'acide nucléique constituant le matériel génétique de tous les organismes cellulaires : polynucléotide composé de désoxyribonucléotides unis par des liaisons phosphodi-esters.
Le chromosome des bactéries est généralement formé d'un double brin d'ADN circulaire surenroulé.
Cependant, certaines bactéries présentent d’autres structures génomiques : chromosome linéaire (Borrelia burgdorferi), chromosomes multiples (Brucella melitensis qui possède deux chromosomes circulaires).
ACIDE RIBONUCLÉIQUE (ARN)Type d'acide nucléique, polynucléotide composé de ribonucléotides unis par des liaisons phosphoriez-esters.
ACIDE RIBONUCLÉIQUE (ARN)Type d'acide nucléique, polynucléotide composé de ribonucléotides unis par des liaisons phosphoriez-esters.
On distingue :
1 - l'ARN messager (ARNm), responsable du transfert de l'information génétique de l'ADN aux ribosomes qui assurent la synthèse des protéines.
2 - l'ARN de transfert (ARNt), assurant le transport des acides aminés jusqu’aux ribosomes.
3 - l'ARN ribosomial (ARNr), intégré dans la structure des ribosomes.
ACIDO - ALCOOLO RÉSISTANCE
ACIDO - ALCOOLO RÉSISTANCE
Bactérie qui sous l'action de l'acide-alcool ne se décolore pas après coloration par une substance comme la fuchsine basique.
Voir : la coloration de Ziehl.
ACINETOBACTER
Voir : la coloration de Ziehl.
ACINETOBACTER
Adjectif, qui veut dire un bâtonnet qui ne peut pas bouger (bacille immobile).
ACRIDINE ORANGE
ACRIDINE ORANGE
C'est un fluorochrome (colorant fluorescent) qui peut s'intercaler dans l'acide nucléique natif et dénaturé.
ACTINOBACILLUS
ACTINOBACILLUS
Nom qui vient du Grec -actis et inis et qui veut dire un petit bacille en forme de rayons.
ACTINOMYCES
ACTINOMYCES
En bactériologie, ce mot désigne un champignon en forme de rayon.
ADDITIVE
ACTINOMYCETE :
ADDITIVE
Une association d'antibiotiques est dite additive lorsque son effet en bactériostase ou en bactéricidie est égal à la somme des effets des deux antibiotiques pris isolément.
AEGYPTIANELLA :
AEGYPTIANELLA :
Mot proposé en 1929 et qui veut dire : qui vient de l’Égypte.
AEROCOCCUS
AEROCOCCUS
Les bactéries aérobies ont besoin pour vivre de la présence d'oxygène (mécanisme respiratoire).
On distingue :
1 - les bactéries aérobies strictes qui ne peuvent se développer qu'en présence d'air car elles ont obligatoirement besoin d'oxygène comme accepteur final d'électron (respiration).
2 - les bactéries aéro-anaérobies facultatives qui sont capables de se développer en aérobiose (respiration) ou en anaérobiose (par métabolisme fermentatif).
3 - les bactéries micro aérophiles qui se développent mieux avec une tension réduite en oxygène.
Voir : anaérobie
AÉROBIOSE
AÉROBIOSE
Conditions atmosphériques nécessaires pour le développement des bactéries aérobies.
Voir : anaérobiose
AEROMONAS
AEROMONAS
Nom Grec qui veut dire : produire du gaz.
En bactériologie se mot veut dire : une bactérie qui produit du gaz.
AERUGINOSA
En bactériologie se mot veut dire : une bactérie qui produit du gaz.
AERUGINOSA
L'agar est produit gélifiant qui est extrait d'algues.
Voir : gélose
ALCALIGÈNES
Mot qui vient de l’arabe, kaïda et qui veut dire base.
En bactériologie se mot veut dire qui produit de l’alcali ou soude.
ALCALESCENS
En bactériologie se mot veut dire qui produit de l’alcali ou soude.
ALCALESCENS
Qui rend alcalin, en référence à la réaction qui se produit en milieu contenant de l’arginine.
AMENSALISME
AMENSALISME
Type d'interaction où une espèce est limitée dans son développement sans que l’autre en soit affectée.
ANAÉROBIE
ANAÉROBIE
Les bactéries anaérobies sont dépourvues du mécanisme de la respiration de l'oxygène et doivent produire leur énergie par fermentation.
On distingue :
1 - les EOS (extremely oxygen sensitive), ceux sont des bactéries qui ne tolèrent aucun contact avec l’oxygène.
2 - les anaérobies strictes : pour ce type de bactéries, l'oxygène est toxique, mais à un moindre degré que pour les EOS.
3 - les anaérobies aéro tolérantes : ce type de bactéries peut se développer en présence d'oxygène atmosphérique, mais moins rapidement qu'en anaérobiose.
Voir : aérobie
ANAÉROBIOSE
ANAÉROBIOSE
C’est une condition atmosphérique nécessaire pour le développement des bactéries anaérobies.
ANTAGONISMEC'est un état d'opposition, qui veut dire dans :
1 – amensalisme : Phénomène qui consiste en l'inhibition de la croissance d'une plante par une autre espèce.
2 - Antibiotique : une association d'antibiotiques est dite antagoniste lorsque son effet en bactériostase ou en bactéricidie est inférieur à celui de l'antibiotique le plus actif.
ANTIBIOGRAMME
Technique d'étude de la sensibilité ou de la résistance d'une souche bactérienne aux antibiotiques.
Technique d'étude de la sensibilité ou de la résistance d'une souche bactérienne aux antibiotiques.
Le résultat est exprimé de façon qualitative.
Il exprime une probabilité de succès pour une éventuelle thérapeutique :
- S : Succès très probable
- R : Échec très probable
- I : Succès limité à certaines indications ou équiprobabilité de l'échec et du succès thérapeutique.
Le terme reflète la notion d'antibiose qui peut s'appliquer à n'importe quelle catégorie d'êtres vivants.
ANTIBIOTIQUE
Substance d'origine biologique, hémi synthétique ou de synthèse, utilisée pour le traitement des infections bactériennes (on parle de chimiothérapie anti-infectieuse). Les antibiotiques perturbent le métabolisme des bactéries.
Substance d'origine biologique, hémi synthétique ou de synthèse, utilisée pour le traitement des infections bactériennes (on parle de chimiothérapie anti-infectieuse). Les antibiotiques perturbent le métabolisme des bactéries.
1 - Ensemble des réactions d'une souche de micro-organismes, de virus ou de parasites vis-à-vis de substances antibiotiques ou anti métaboliques.
2 - Identificateur d'une souche à l'intérieur d’une espèce ("typage").
Sur la base des réactions précédentes une souche de micro-organismes, de virus ou de parasites est affectée à un sous-ensemble.
Substance d'origine biologique ou synthétique qui s'oppose au développement des mycètes inférieurs.
ANTIFONGIGRAMME
Ce terme est à éviter car il est construit sur "antifongique" par homophonie avec "antibiotique" et en pensant qu'un antibiotique est uniquement antibactérien.
ANTIGÈNE
ANTIGÈNE
Substance étrangère à un organisme, telle que protéine, nucléoprotéine, polysaccharide et certains glycolipides, à laquelle les lymphocytes de l'organisme répondent.
La structure est dite immunogène quand elle induit une réponse immunitaire.
Ce sont des antigènes spécifiques d'une espèce bactérienne libérés dans les liquides biologiques où elle se développe. Ils sont de nature polysaccharidique et persistent dans les milieux biologiques même si les bactéries ne sont plus viables.
Leur recherche dans ces milieux par des techniques immunologiques permet d'orienter le diagnostic.
Produit dont l'application sur une surface vivante réduit le nombre de micro-organismes (action bactéricide).
L'activité, antiseptique fait l'objet d'une norme AFNOR.
ANTHRACIS
Qui veut dire de l’Arizona.
ARTHRITIDIS
Nom qui vient du Grec et veut dire inflammation ou arthrite.
AUREUS :
En bactériologie ce mot évoque la production de pigment de couleur jaune par certaines souches de bactéries et plus particulièrement par les staphylocoques dorés.
Appareil qui stérilise les objets par de la vapeur d'eau sous pression (la température habituelle de l'autoclavage est de 121°C).
AUXANOGRAMME :
Épreuve qui consiste à étudier l'effet sur la croissance d'un micro-organisme en milieu synthétique composé de divers substrats qui servent de sources uniques de carbone et d'énergie
AUXOTROPHE :
microorganisme ayant besoin de facteurs nutritifs spécifiques, comme des acides aminés ou des vitamines
AVIUM :
Nom Latin, qui veut dire, oiseaux.
AXANTHUM :
Mot grec qui marque la négation et veut dire non coloré en jaune, au contraire d’aureus.
BACILLE
Les cellules peuvent être courtes, pratiquement sphériques (cocci) ou allongées (bacilles).
Les bacilles sont essentiellement des cylindres à extrémités hémisphériques mais on en connaît aussi à extrémités fines, pointues (formes en fuseau) ou au contraire planes (bacilles dits “à bouts carrés”).
Certains corps bacillaires sont incurvés (Vibrio, Campylobacter) ou spiralés (Leptospira, Treponema).
BACILLIFORMIS
BACILLUS
Nom masculin, qui vient du latin et veut dire, bacille.
C’est aussi le nom d'un genre bactérien regroupant des bactéries en forme de bacilles.
Elles se distinguent des cellules dites eucaryotes (comme celles des animaux, des plantes) par l'absence de sous-
structures internes (absences des organites intracellulaires) et de noyau individualisé regroupant l'ADN cellulaire.
D'autres différences portent sur la simplicité des organes liés à la mobilité (flagelles) et l'enveloppe de la cellule. Les bactéries sont capables de se développer dans un environnement adapté : elles effectuent pour leur compte les synthèses cellulaires nécessaires à leur croissance et à leur multiplication.
Dans certains cas, les bactéries ont pour environnement cellulaire des cellules eucaryotes où elles se développent éventuellement en parasites. Le métabolisme des bactéries, même en cas de parasitisme strict, reste toujours largement indépendant de celui de l’hôte. Cette dernière caractéristique les distingue profondément des virus qui, parasites obligatoires, n’ont pas de synthèse propre.
BACTÉRIE ÉMERGENTE
Le comportement de l’Homme et ses activités peuvent influencer ses relations avec les bactéries en faisant émerger de “nouvelles” maladies bactériennes (“maladies bactériennes émergentes”) ou en faisant disparaître d’autres. L’émergence de nouvelles bactéries pathogènes peut être la conséquence de la rencontre imprévue de deux êtres vivants qui n’étaient pas destinés à se rencontrer du fait de leur appartenance à des niches écologiques trop éloignées ou différentes.
Une autre raison de l'émergence est la modification des bactéries induite par des thérapeutiques (bactéries multi résistantes).
BACTÉRIE A GRAM NÉGATIF :
Bactérie qui, au cours de la coloration de Gram, est décolorée par l’alcool et prend la couleur du contre colorant
Voir : Coloration de Gram
Voir : Coloration de Gram
BACTÉRIE A GRAM POSITIF :
Bactérie qui, au cours de la coloration de Gram, n’est pas décolorée par l’alcool et conserve la couleur du colorant (cristal violet)
Voir : Coloration de Gram
Voir : Coloration de Gram
BACTÉRIE LYSOGÈNE :
Bactérie infectée par un bactériophage tempéré
Se dit d’une souche bactérienne résistante à au moins deux familles d’antibiotiques.
1 - Activité d'un antibiotique qui entraîne, au-delà d'une concentration seuil, l'apparition d'une mortalité bactérienne.
2 - État d'une population bactérienne où la mortalité bactérienne est plus fréquente que la croissance bactérienne (diminution du nombre de cellules viables).
Voir : bactériostase.
Protéine produite par une souche bactérienne qui tue d’autres souches de bactéries, habituellement étroitement apparentées.
BACTEROIDES :
Nom Grec qui vient de bakteria et qui veut dire un bâton ou un bacille en bactériologie.
Aptitude de certains antibiotiques bactéricides à lyser les bactéries.
Certaines bactéries, à la suite d'une mutation, peuvent résister à la bactériolyse et sont désignées lyt-
BACTÉRIOPHAGE
Les bactériophages sont des virus spécifiques des bactéries. Comme les virus des organismes supérieurs, ils peuvent entrer dans la cellule, s’y multiplier en exploitant les processus synthétiques et métaboliques, sortir de la bactérie en provoquant la lyse.
L’emploi de cette lyse bactérienne d’origine virale en thérapeutique s’est révélé totalement impossible tant pour des problèmes d’efficacité que de résistance bactérienne et de réactions immunitaires adverses chez le malade traité. Certains de ces virus peuvent infecter les cellules puis s’intégrer dans le génome sous une forme stable et partiellement exprimée sous forme de protéines appelée prophages.
Ces bactériophages sont dits bactériophages tempérés.
Des stimuli physiques (UV) ou chimiques (mutagènes) peuvent lever la répression de leur développement.
Le virus, s’exprimant à nouveau, lyse la bactérie hôte lors d’un cycle lytique.
Cette propriété est dénommée lysogénie.
Tous ces virus contiennent un seul type d'acide nucléique (ARN ou ADN) protégé par une capside protéique dont le rôle est aussi la fixation sur des récepteurs bactériens.
Ralentissement de la croissance bactérienne, pouvant aller jusqu'à l'arrêt de la croissance.
Lorsque cette activité est maximale, le nombre de bactéries reste égal à celui de l'inoculum.
Voir : CMA, bactéricidie.
Ensemble des tests de même nature (biochimiques, immunologiques, sensibilité à des agents chimiothérapeutiques…) dont l'emploi est coordonné ou simultané.
BIFIDOBACTERIUM
BIOFILMS
Les biofilms sont des consortiums fonctionnels de cellules (bactériennes et/ou fongiques) enveloppées dans des matrices de polymères extracellulaires (glycocalyx).
Certaines bactéries ne vivent que fixées à un support mais la plupart sont capables d’une vie libre dans un environnement liquide (vie planctonique).
Ce sont ces bactéries libres qui sont cultivées au laboratoire.
Technique, méthode ou procédé faisant appel au vivant dans le but de rendre possible, d’accélérer ou de faciliter la synthèse ou la transformation d’un produit donné.
Ensemble de caractères (physiologiques ou biochimiques) variant au sein d'une même espèce bactérienne et permettant une identification des souches à l'intérieur d'une même espèce.
Ceci correspond donc à une subdivision de l'espèce.
Voir : Biovars
BIOVARS
Classification à partir de caractères biochimiques
1 - Boîte de Pétri : récipient circulaire, actuellement en matière transparente synthétique, recouvert par un couvercle de même forme et de dimension légèrement supérieure.
2 - Par extension le contenu de la boîte de Pétri : colonies de micro-organismes.
3 - En virologie, flacon parallélépipédique en matière transparente synthétique permettant la culture des cellules d'organismes supérieurs en vue de la multiplication des virus (boîte de Roux).
4 - Par extension, le contenu d'une boîte : milieu de culture, cellules et virus.
BORDETELLA
BORRELIA
BOTULINUM
Nom Latin, qui vient de botulus et qui veut dire boyau d’un animal.
Par extension, boudin, saucisse…
BOTULISME :
Intoxication alimentaire due à la toxine élaborée par Clostridium botulinum
BOVIS
Nom Latin, qui vient de bos et qui veut dire : bœuf, vache.
BRANHAMELLA
Mot créé en l'honneur de la bactériologiste S.E. Branham (1888-1962).
BRUCELLA
Mot crée en l'honneur du bactériologiste D. Bruce (1855-1931).
BURGDORFERI
Nom générique, crée en l'honneur de William Burgdorfer.
BURNETII
BUTYRICUM
Nom qui dérive du Latin butyrum et qui veut dire beurre.
BUTZLERI
Nom générique créé en l'honneur du bactériologiste J.P. Butzler.
C
CAMPYLOBACTER
En bactériologie cela veut dire : un bacille incurvé
CANIS
Nom Latin qui veut dire chien.
CAPRAE
Nom Latin qui veut dire chèvre
Bactérie qui se développe mieux dans une atmosphère enrichie en CO2.
CAPSIDE :
Coque rigide protéique entourant le matériel génétique d’un virus
CAPSULE
C’est un constituant inconstant de la bactérie.
Constitué de polysaccharides acides (les sucres sont sous forme d’acides uroniques comme l’acide galacturonique, l’acide glucuronique, l’acide hyaluronique mais aussi sous forme de sucres phosphorés comme le ribitol-phosphate) ce composant est très lié à certains pouvoirs pathogènes car il empêche la phagocytose.
Sa mise en évidence s’effectue par coloration négative (le colorant, encre de Chine ou nigrosine est repoussé par la capsule et celle-ci apparaît en clair sur fond noir).
La capsule n’est pas fixée solidement à la bactérie et peut se trouver à l’état soluble dans les liquides de l’organisme (emploi dans le diagnostic).
La capsule intervient dans l’identification infra spécifique ou typage qui est une des méthodes de reconnaissance des épidémies.
Les polymères capsulaires purifiés sont la base de certains vaccins (Streptococcus pneumoniae, Pseudomonas aeruginosa, Haemophilus influenzae).
La production de capsule peut être altérée par les antibiotiques au même titre que d’autres composés cellulaires.
Dégradation ou modification d'un composé chimique par une bactérie ou un mycète inférieur, utilisée pour l'identification du micro-organisme.
L’incubation d’une bactérie dans des milieux de culture dont la composition permet de mettre en évidence une activité physiologique (fermentation) ou enzymatique est largement utilisée pour identifier les bactéries.
Un milieu type pour fermentation contient tout ce qui permet la croissance, dont un sucre et un indicateur coloré des changements de pH.
La fermentation du sucre entraîne un abaissement du pH et donc un changement de couleur (virage) de l’indicateur coloré.
Réponse d'une bactérie ou un mycète inférieur à un ou des conditions physicochimiques, utilisée pour l'identification du micro-organisme.
Enzyme capable de décomposer l'eau oxygénée en entraînant un dégagement d’oxygène ; caractère biochimique permettant l'identification des souches bactériennes.
Voir : Fiche Technique de la Recherche de la Catalase
CEREUS :
Adjectif Latin, qui veut dire cire ou couleur de cire.
CHLAMYDIA :
nom qui vient du Grecque chlamys-ydos et qui veut dire petit manteau (a cause du développement de bactérie dans une vacuole du cytoplasmique et dont la membrane est constituée d’une sorte de manteau).
Voir : ADN
Nom qui vient du Latin citrus et qui veut dire citron et de bakteria qui veut dire baton.
En bactériologie, cela invoque un bacille qui utilise le citrate de sodium.
Partition sur l'ensemble des bactéries, virus ou parasites.
Il s'agit de regrouper en genres et espèces les micro-organismes.
CLONE :
Population de cellules provenant toutes d’une cellule unique
CLOSTRIDIUM :
Clostridium est un bacille en petit fuseau.
Concentration d'antibiotique entraînant les premières modifications morphologiques ou physiologiques de la bactérie.
Concentration d'un produit antibiotique entraînant la mort d'un micro-organisme, d'un virus ou d'un parasite.
Du fait de problèmes d'échantillonnage la mort n'est appréciée qu'avec une certaine incertitude.
Cette CMB est obtenue pour un temps d'exposition donné et n'est donc pas une grandeur fixe.
La tendance est à exprimer en fonction du temps.
L'expression de la CMB n'a donc de sens qu'accompagnée d'un pourcentage d'efficacité et d'un temps : 99,99 % à 3 h, par exemple.
Voir : CMI.
C’est la concentration provoquant l'absence de croissance d'une population bactérienne (inoculum), visible après 24 heures.
Voir : CMB
COCCI :
Les morphologies bactériennes sont variées.
Les cellules peuvent être courtes, pratiquement sphériques (cocci) ou un peu allongées (coccobacilles).
Les cellules peuvent être courtes, pratiquement sphériques (cocci) ou un peu allongées (coccobacilles).
COLI :
Nom Latin qui veut dire colon ou colom.
Ensemble de bactéries se développant sur une surface solide comme celle d'un milieu de culture gélosé, souvent visible à l'œil nu mais pouvant aussi être microscopique.
En théorie la colonie provient d'une seule cellule mère.
L'accumulation des cellules au même point rend l'agrégat de cellules visible à l'œil nu ou à la loupe.
Une colonie dérivant d'une seule cellule a une bonne probabilité d'être formée de cellules génétiquement homogènes.
Ce terme s'emploie pour bactéries, mycètes inférieurs et certains parasites.
Technique de coloration différentielle distinguant les bactéries à Gram positif des bactéries à Gram négatif sur la base de leur capacité à retenir le cristal violet, après décoloration par l’éthanol.
Cette coloration est fondée sur l’action successive d’un colorant d’aniline (le cristal violet), d’iode puis d’un mélange d’alcool et d’acétone.
L’intérêt de cette coloration est de donner une information rapide et médicalement importante, car le pouvoir pathogène et la sensibilité aux antibiotiques sont radicalement différents des résultats de la coloration de Gram.
Technique de coloration permettant de classer les bactéries en groupes séparés selon leur aptitude à fixer ou non un ou des colorants (exemples : coloration de Gram).
Coloration spécifique des mycobactéries.
Cette technique permet après coloration des acides nucléiques par la fuschine à chaud, décoloration par une solution acido-alcool et coloration par le bleu de méthylène, de mettre en évidence au microscope optique les mycobactéries (gardant une coloration rouge) présentes dans le milieu analysé.
Cette technique permet après coloration des acides nucléiques par l'acridine orange et décoloration par une solution acido-alcool, de mettre en évidence par fluorescence seulement les mycobactéries présentes dans le milieu analysé.
État d'une espèce bactérienne qui vit sur la peau, les muqueuses (y compris les muqueuses intestinales, respiratoires, sexuelles) sans nuire à l'hôte qui l'héberge.
Anglicisme.
Une infection microbienne est dite communautaire quand elle est contractée en dehors d’une période d’hospitalisation. Cette définition inclut les infections existantes ou en incubation à l’entrée à l’hôpital.
Deux espèces en compétition ont un développement limité à cause d’une dépendance commune à un facteur limitant.
CONCENTRATION DÉPENDANT :
Se dit d'un antibiotique dont l'activité bactéricide, déterminée pendant la phase précoce, est fonction de la concentration.
A forte concentration, l'influence du temps d'action de l'antibiotique est limitée.
L'activité bactéricide concentration dépendante est le plus souvent rapide.
Rapport des concentrations inhibitrices obtenues pour un antibiotique lors de l'association avec un autre antibiotique à la CMI du germe à l'antibiotique pris isolément.
CONJONCTIVAE :
Nom qui vient du latin conjonctiva et qui veut dire conjonctivite.
Cause matérielle de la contagion : substances organiques telles que squames, exsudats, servant de vecteurs de micro-organismes.
Transmission d'une maladie d'un malade à un individu sain.
1 - Souche de micro-organismes, de virus ou de parasites considérée comme non significative d'un processus infectieux.
2 - A la surface d'une gélose ou d'un tube de culture, bactérie ou mycète dont l'isolement n'était pas attendu ; il s'agit d'une présence fortuite, l'ensemencement accidentel étant dû à de mauvaises conditions techniques.
1 - Infection par des bactéries pathogènes, des virus ou des contages quelconques.
2 - Introduction accidentelle de bactéries dans un milieu biologique pendant ou après le prélèvement.
CORYNEBACTERIUM :
Mot qui vient du Grec coryne –es et qui veut dire une massue.
En bactériologie, un petit bacille en forme de massue.
En bactériologie, un petit bacille en forme de massue.
COXIELLA :
Mot créé en l'honneur du bactériologiste H.R. Cox.
CROISSANCE :
En parlant de micro-organismes, c'est l'augmentation de la masse totale de cellules, et non l'augmentation de la taille ou de la complexité d'un organisme.
1 - Action de propager à la surface d'un milieu nutritif, dans un milieu nutritif ou dans des cellules en culture, un virus, une bactérie, un mycète inférieur ou un parasite.
2 - Le résultat de la propagation : il conviendrait de parler de souche, qui est le synonyme plus précis de culture pure.
Population de cellules identiques, parce qu'issues d'une cellule unique.
CYSTITIDIS :
Vient du Grec cystitis et qui veut dire une vessie. D
DÉCONTAMINATION :
1 - Diminution de la quantité de bactéries présentes sur un objet inanimé à des niveaux jugés sans danger par les normes de la santé publique : habituellement l’objet est propre.
2 - Terme utilisé pour la recherche de mycobactéries dans un produit biologique, où la décontamination du prélèvement avant mise en culture permettant d’éliminer les bactéries indésirables à croissance rapide.
Diagramme arborescent utilisé pour résumer graphiquement les similitudes et les relations mutuelles entre les organismes.
Appareil permettant la détermination de la concentration bactérienne d'une suspension par la mesure de sa densité optique.
Mot qui vient du Grec : derma–atos qui veut dire, la peau.
En bactériologie qui aime la peau.
DÉSINFECTANT :
Produit dont l'application sur une surface inerte réduit le nombre de micro-organismes (action bactéricide).
Abaissement du nombre de micro-organismes viables présents sur une surface vivante ou inerte à l'aide de produits chimiques.
L'activité désinfectante d'un produit est définie par une norme (NF).
DIFFICILE :
En bactériologie et dans le cas de Clostridium difficile, cet adjectif fait allusion aux difficultés rencontrées par les premiers auteurs pour obtenir cette bactérie en culture pure.
Voir : Clostridium Difficile
Voir : Clostridium Difficile
DISPAR :
Mot dérivant du Latin, dispar -aris, et qui veut dire différent ou dissemblable
Antibiotique qui, dans une association, impose son type d'activité bactéricide.
L'antibiotique dominant peut être de type temps dépendant ou concentration dépendant.
Lorsque l'antibiotique dominant est moins bactéricide que l'antibiotique associé, il y a antagonisme.
DOSE INFECTIEUSE :
La dose infectieuse représente une quantité de microorganismes nécessaire pour pouvoir infecter une personne ou un hôte.
DRIGALSKI (Milieu de) :
Milieu de culture sélectif, utilisé pour l'isolement et l'identification des entérobactéries.
Voir : le milieu de Mac Conkey
DURANS :
Mot qui vient du latin durans (de duro) et qui veut dire résistant.
DYSENTERIAE :
Mot qui vient du Grec dysenteria et qui veut dire : dysenterie
On parle de croissance dysgonique pour les mycobactéries dont la croissance est limitée.
Voir : eugonie.
E
E - TEST :
Technique de détermination de la CMI basée sur l'utilisation de bandelettes imprégnées d'un gradient exponentiel prédéfini d'un antibiotique ; cette technique associe les caractéristiques des méthodes de diffusion et de dilution en milieu gélosé.
ÉCHANTILLON BIOLOGIQUE :
Fragment d'un organisme prélevé pour permettre la caractérisation d'une infection.
ÉCOLOGIE MICROBIENNE :
Étude des micro-organismes dans leur environnement naturel.
Ensemble formé par un environnement donné et les êtres vivants qui y prospèrent.
ÉCOUVILLON :
Tampon de matériel absorbant habituellement enroulé à l’extrémité d’une petite tige et utilisé pour des applications médicales ou pour enlever du matériel d’une surface (prélèvements biologiques).
EDWARDSIELLA :
Mot créé en l'honneur du bactériologiste P.R. Edwards.
L'activité bactéricide d'un antibiotique varie de façon non proportionnelle à la concentration.
L'activité nulle de très faibles concentrations est remplacée par une activité détectable puis par une activité minime ou absente.
EHRLICHIA :
Mot créé en l'honneur du bactériologiste P. Ehrlich (1854-1915).
Technique séparant les substances sur la base de leurs différentes vitesses de migration dans un champ électrique en raison des variations du nombre et du type de groupements chargés électriquement qu’elles présentent.
Immunodiffusion en gélose permettant de détecter la toxine produite in situ par Corynebacterium diphtheriae.
Technique de détection ou de dosage immunoenzymatique où la réaction antigène-anticorps est révélée par l'action d'une enzyme (couplée à l'anticorps ou l'antigène) sur un substrat chromogène.
ENDÉMIQUE :
Qui présente un caractère de persistance dans une région donnée
ENDOSPORE :
Spore formée à l’intérieur d’une bactérie
Le constituant essentiel de la paroi des bacilles à coloration de Gram négative est un lipide complexe couplé à la glucosamine et à des résidus phosphore, le lipide A.
Le lipide A est ainsi amphiphile (possédant une partie hydrophobe et une partie hydrophile) ; cette propriété est essentielle au pouvoir toxique lié à la membrane externe et au lipide A en particulier : il y a pratiquement analogie entre les appellations “endotoxine”, “lipide A” et “membrane externe”.
Le composant essentiel de l’endotoxine est donc le lipopolysaccharide.
Au cours des septicémies à bactéries à Gram négatif, ce dernier est libéré par la lyse bactérienne consécutive à la réponse immunitaire ou à un traitement antibiotique.
Il va se fixer ensuite sur des récepteurs membranaires et être internalisé par endocytose par la cellule.
Le choc endotoxinique est commun à toutes les bactéries à Gram négatif.
Il est marqué par :
1 - la fièvre due à la libération de molécules pyrogènes par les cellules ayant capté le lipopolysaccharide.
2 - des troubles de la coagulation dues à l’activation du facteur XII, déclenchant la formation de fibrine, qui obstrue les capillaires sanguins et secondairement conduit à une hypocoagulabilité par consommation des facteurs de coagulation et par là à des hémorragies : c’est la
coagulation intraveineuse disséminée ou CIVD .
3 - un collapsus vasculaire secondaire à une vasodilatation périphérique, consécutive à la libération par les plaquettes et les polynucléaires d’amines vasoactives ; ceci induit une séquestration périphérique du sang, une fuite liquidienne vers le compartiment extracellulaire et donc une hypovolémie, et une acidose métabolique par anoxie tissulaire.
Ces différents troubles vont entraîner des lésions de divers organes, par hémorragie ou nécrose (surrénales, reins, poumons, cerveau).
Le pronostic du choc endotoxinique reste très sévère.
Technique quantitative d’ensemencement d’un milieu biologique : un volume défini de prélèvement (préalablement dilué) est déposé au centre d'une gélose et étalé, avec un instrument en forme de râteau sans dents, de façon homogène. Le dénombrement des colonies donne la concentration bactérienne du prélèvement initial et permet l'isolement bactériologique.
ENSEMENCEMENT ORTHOGONAL :
Technique d’isolement par épuisement (voir ce mot) de micro-organismes contenus dans un produit biologique à l’aide de trois séries de stries ; les stries sont faites avec une öse sur une moitié puis un quart de la gélose nutritive stérile en tournant la boîte d’un quart de tour à chaque série.
ENTERICA :
nom qui vient du Grec enteron –ou et qui veut dire intestin .
ENTERITIDIS :
Nom Grec qui veut inflammation de l’intestin.
ENTEROBACTER :
Mot qui vient du Grec enteron qui veut dire intestin .
En bactériologie, entérobacter et l’équivalent de bacterium et qui veut dire un petit bacille intestinal.
ENTEROCOCCUS :
Nom qui dérive du Grec et qui veut dire, dans ce cas là, une coque de l’intestin.
ENTEROCOLITICA :
Nom qui vient du Grec et qui veut dans ce cas là, appartenant à l’intestin et au colon.
ENZYME :
Étude des facteurs déterminants et influençant la fréquence et la distribution d'une maladie, d'une lésion ou d'autres événements relatifs à la santé, ainsi que l'étude de leurs causes dans une population humaine définie.
Nom d'origine grecque et qui dérive du latin et qui veut dire épiderme.
EQUI :
Nom Latin qui vient de et qui veut dire cheval.
ERWINIA :
ERYSIPELOTHRIX :
Nom grec qui vient de erysipelas et qui veut dire cheveu.
En bactériologie: bactérie ressemblant à un cheveu et qui est responsable de l’érysipèle, (voir ce mot)
ESCHERICHIA :
D'une façon générale, ensemble des individus présentant des similitudes génétiques et/ou physiologiques.
On appelle "espèce" une souche dite "souche-type",
physiquement déposée dans une collection internationale de souches, et toutes les souches qui lui ressemblent suffisamment.
Cette ressemblance sera définie par l'utilisation à la fois de critères phénotypiques (taxinomie numérique, taxinomie génomique) et de critères fondés sur la relation évolutive
ÉTUVE :
Enceinte dont la température et éventuellement l'atmosphère sont régulées et permettant la culture des germes.
EUGONIE :
On parle de croissance eugonique pour les mycobactéries dont la croissance est luxuriante.
Voir : dysgonie.
EXOSPORE:
Spore formée à l’extérieur de la cellule végétative
EXOTOXINE :
Toxine secrétée par un microorganisme dans le milieu environnant
F
FACTEUR DE CROISSANCE :
Facteur nutritif en l’absence duquel un organisme donné ne peut croître ni se multiplier, et dont cet organisme ne peut effectuer lui-même la synthèse
FACTEUR "F" :
Elément génétique de nature épisomique, présent dans le cytoplasme de certaines bactéries dites mâles, appelé aussi facteur de fertilité ou facteur sexuel
FERMENTATION :
Oxydation anaérobie de glucides par certains microorganismes
FISSION BINAIRE OU TRANSVERSE (SCISSIPARITÉ) :
Processus de reproduction asexuée par lequel une cellule-mère se divise en deux cellules-filles
FLORE MICROBIENNE :
Ensemble des microorganismes présents dans un endroit donné, comme dans le sol ou dans les intestins
FORTUITUM :
Nom qui vient du Latin, qui veut dire fortuit, qui veut dire lui-même, qui se produit par hasard ou accidentellement.
En bactériologie, ce nom a été donné accidentel à une espèce du genre Mycobacterium dont l'isolement était considéré comme dépourvu de signification clinique.
FRAGILIS :
Nom qui vient du Latin fragilis et qui veut dire fragile.
Ce nom est en relation avec les colonies fragiles qui peuvent se former sous certaines conditions de culture.
FRANCISELLA :
Nom créé en l'honneur du bactériologiste E. Francis (1872-1957).
FROTTIS :
Matériel biologique, comme des bactéries, étalé en couche mince sur une lame pour être examiné au microscope
FUSOBACTERIUM :
Nom Latin qui vient de fusus et qui veut dire une baguette.
En bactériologie, c’est un petit bacille en forme de fuseau.
Composé organique non synthétisé par l'organisme et indispensable à sa croissance.
FAECALIS :
Nom Latin qui vient faex faecis et qui veut dire fèces ou relatif aux fèces.
FBC (FRACTIONAL BACTERICIDAL CONCENTRATION, INDICE CMB FRACTIONNAIRE) :Cet indice décrit les interactions, en termes de bactéricidie, entre deux antibiotiques agissant sur une même population bactérienne.
Le calcul et l'interprétation sont ceux du FIC, le terme CMI étant remplacé par CMB.
Le FBC varie donc avec le pourcentage de bactéricidie choisi pour définir la CMB.
Réaction productrice d’énergie dans laquelle les molécules organiques servent à la fois de donneurs et d’accepteurs d’électrons.
La fermentation s'accompagne souvent d'un abaissement du pH (acidification).
FETUS :
Nom Latin qui vient du fetus -us, et qui veut dire une portée en parlant des animaux.
Voir : concentration inhibitrice fractionnaire (indice de).
de métal fin porté par un manche et permettant de prélever des fragments de colonies de micro-organismes.
FLAVOBACTERIUM:
Mot qui vient du Latin flavus -a –um et qui veut dire jaune.
En bactériologie c’est une bactérie jaune.
FLEXNERI :
Mot crée en l’honneur du bactériologiste Simon Flexner (1863-1946).
Se dit d’un ensemble de micro-organismes normalement associés à l’écosystème (tissu ou structure particulière) analysé.
FLORE DOMINANTE :
Ce terme défini sur un milieu de culture ensemencé par un prélèvement biologique, l’espèce bactérienne majoritaire.
Voir flore monomorphe.
On parle de flore mixte quand il y a présence sur la culture d'espèces bactériennes d’aspects morphologiques et/ou tinctoriaux différents.
On parle de flore monomorphe quand il y a présence sur la culture d'une seule morphologie bactérienne.
Voir flore dominante.
FLUORESCENS :
En bactériologie, bactérie fluorescente qui entre dans la fluorescence.
Colorant émettant une lumière visible d'une longueur d'onde (couleur) spécifique lorsqu'il est exposé à une lumière ultraviolette de longueur d'onde donnée.
Nombre de mutants présents dans une population donnée, rapporté à la taille de la population. Voir taux de mutation
G
GALLIBACTERIUM :
Nom qui vient du Latin gallus -i, et qui veut dire coq.
En bactériologie, un petit qui est isolé des oiseaux du genre Gallus.
GALLINARUM :
Nom qui vient du Latin gallina –ae et qui veut dire une poule.
2 - Milieu de culture contenant de la gélose comme agent gélifiant.
Voir : agar-agar, agar
Tube de verre où s'est solidifié un milieu gélosé stérile alors que le tube était incliné.
La gélose forme un coin.
GÈNE :
Séquence d’acides nucléiques de type ADN pour les bactéries et les mycètes inférieurs, support de l'information génétique.
Ensemble des gènes d'un organisme.
En taxonomie, ensemble d'espèces présentant des similitudes génétiques et/ou physiologiques.
GERME POTENTIELLEMENT PATHOGÈNE :
Germe susceptible d’entraîner une infection. Sa présence au site de prélèvement est anormale.
GERME :
Un microorganisme ; un microbe, habituellement pathogène
GERME POTENTIELLEMENT PATHOGÈNE :
Germe susceptible d’entraîner une infection. Sa présence au site de prélèvement est anormale.
GLUCOSIDA :
Nom qui vient du Latin glucosum –i et qui veut dire le glucose et par extension les sucres.
En bactériologie, glucosida est une caractéristique pour indiquer que la bactérie fermente les sucres.
Ce sont des fibres polysaccharidiques entourant la bactérie.
Ces polymères sont extrêmement fréquents
Ces polymères sont extrêmement fréquents
On les observe difficilement au microscope électronique.
Le feutrage des fibres de glycocalyx est constant dans le cas de bactéries vivant en biofilm dans les conditions naturelles (environnement ou pouvoir pathogène).
Le glycocalyx est responsable de l’attachement des bactéries aux cellules (cellules buccales, respiratoires) ou à des supports inertes (plaque dentaire sur l’émail dentaire, biofilm sur les cathéters, les instruments et les prothèses dans le cas de bactéries d’intérêt médical)
Le glycocalyx protège les bactéries du biofilm de la dessiccation, sert à concentrer ou modifier les éléments nutritifs exogènes et rend les bactéries résistantes à l’action des antiseptiques, désinfectants et antibiotiques.
Certaines structures de cette couche externe des bactéries sont plus grosses, protéiques, fibrillaires et rigides (fimbriae ou pili), elles permettent l'attachement spécifique des bactéries sur les cellules qui semble une phase essentielle dans certains pouvoirs pathogènes (Escherichia coli de certaines infections urinaires).
Certaines structures de cette couche externe des bactéries sont plus grosses, protéiques, fibrillaires et rigides (fimbriae ou pili), elles permettent l'attachement spécifique des bactéries sur les cellules qui semble une phase essentielle dans certains pouvoirs pathogènes (Escherichia coli de certaines infections urinaires).
Des virus bactériens ou bactériophages peuvent infecter la bactérie après fixation sur les pili.
GONORRHOEAE :
Nom qui vient du Grec, gonorrhoeae et qui a gardé toute sa signification.
GRANULOMATIS :
Nom qui vient du Latin granulum –i et qui veut dire un gonflement, une tumeur.
H
HAEMOBARTONELLA :
Nom qui vient du Grec haima –atos et qui veut dire sang.
En bactériologie c’est la bactérie bartonella habitant le sang.
HAEMOGLOBINOPHILUS :
Nom qui vient du Latin haemoglobinum –i et qui veut dire hémoglobine ou aimant l’hémoglobine.
HAEMOLYTICA :
Nom qui vient du Grec haima –atos et qui veut dire sang.
En bactériologie ce mot veut dire : capable et dans ce cas précis, détruire les globules rouges.
HAEMOPHILUS :
Nom qui vient du Grec haima –atos et qui veut dire le sang.
Dans ce cas précis en parle de bactérie qui aime le sang ou amateur de sang.
Micro-organisme exigeant des concentrations élevées en chlorure de sodium pour sa croissance.
HELICOBACTER :
Dans ce cas, cela veut un bacille en forme spirallée
Destruction des globules rouges par éclatement et libération de leur hémoglobine.
Plusieurs types d’hémolyse s’observent lorsque des bactéries comme les streptocoques et les staphylocoques se développent sur une gélose au sang.
Enzyme ou toxine dont l'action est, entre autres, la destruction des globules rouges par éclatement avec libération de leur hémoglobine.
Zone floue et verdâtre d'hémolyse partielle des hématies autour d'une colonie bactérienne qui libère des agents hémolytiques dans la gélose (ex : les streptocoques oraux).
Zone claire d'hémolyse totale des hématies autour d'une colonie bactérienne qui libère une hémolysine dans la gélose (ex : Streptococcus pyogènes).
Caractère d'un micro-organisme correspondant à la présence d'une hémolysine.
HETEROTROPHE :
Se dit d’un organisme incapable de synthétiser ses propres constituants organiques, et qui doit se nourrir de ceux élaborés par des organismes autotrophes ou par d’autres hétérotrophes
Enceinte de travail, maintenue stérile dans le but d'empêcher une contamination du prélèvement traité par des micro-organismes et/ou de protéger le manipulateur.
HYBRIDATION D’ACIDES NUCLÉIQUES :
Formation d’une structure bi caténaire à partir d'un mélange chauffé de séquences d'acides nucléiques simples brins; dans la mesure où les séquences ont un pourcentage de complémentarité élevé, des hybrides stables seront formés.
HYDATIS :
Nom qui vient du Grec hudôr hudatos et qui veut dire eau.
HYDROPHILA :
Nom qui vient du Grec hudôr, eau et dans ce cas précis : qui aime l’eau ou ami de l’eau.
I
Qui est provoqué par le médecin.
Action d'identifier un micro-organisme.
Ceci consiste à l'affecter à une espèce donnée sur la base de diverses propriétés partagées par les membres de l'espèce.
Ne peuvent donc être identifiés que les membres des espèces déjà reconnues et individualisées par des méthodes taxonomiques.
Calcul qui permet d’évaluer le degré de contamination d’un prélèvement biologique en fonction de sa cytologie et de la variété des bactéries présentes à l’examen direct.
INDIFFÉRENCE:
Effet d'une association d'antibiotiques (bactériostatique ou bactéricide) qui reste analogue à l'effet de l'antibiotique ayant la plus forte activité
INDOLOGENES :
Nom qui vient du Latin indolum et qui veut indol.
En bactériologie ce mot veut dire qui produit de l’indol.
INDOLTHETICUM :
Bacteria indol positif.
INFECTION :
Invasion d’un organisme par un microbe ; état pathologique résultant de la croissance d’un microorganisme pathogène dans l’organisme
INFECTION NOSOCOMIALE : Voir : nosocomiale.
INFLAMMATION :
Réaction tissulaire due à l’irritation par une substance étrangère, et provoquant la migration de leucocytes et une augmentation de l’irrigation sanguine dans la région irritée.
INOCULATION :
Introduction artificielle de microorganismes ou de substances dans un organisme ou dans un milieu de culture
INTERMEDIUS :
Mot qui vient du Latin intermedius -a –um et veut dire soit interposé, soit intercalé.
En bactériologie ce mot est utilisé pour désigné Staphylococcus intermedius et qui évoque les caractères bactériologiques qui sont intermédiaires entre ceux de Staphylococcus aureus et ceux de Staphylococcus epidermidis.
INTOXICATION :
Troubles provoqués par l’action de substances toxiques sur l’organisme
INTRACELLULARIS :
Représentation graphique des résultats de l'étude de l'interaction entre deux antibiotiques sur une bactérie.
ISOLEMENT (bactériologique) :
ISOLEMENT (bactériologique) :
1 - Action de cultiver à partir d'un écosystème donné un micro-organisme sous une forme exempte de contaminant.
2 - Le résultat de cette action: il vaudrait mieux parler de culture pure ou de souche.
Isoler des bactéries consiste à obtenir un clone à partir d’un mélange de cellules bactériennes, d’un produit pathologique ou de l'environnement.
Chaque colonie, si elle est suffisamment éloignée de ses voisines, constitue un clone, ensemble d’individus bactériens issus de la croissance d’une seule cellule bactérienne.
Chaque colonie, si elle est suffisamment éloignée de ses voisines, constitue un clone, ensemble d’individus bactériens issus de la croissance d’une seule cellule bactérienne.
L'isolement habituel est l'isolement par épuisement.
L’isolement de clones lors d’une culture en milieu liquide est possible par dilution mais plus difficile et très peu employé.
ISOLEMENT PAR ÉPUISEMENT :
ISOLEMENT PAR ÉPUISEMENT :
Méthode d'isolement bactériologique.
Les clones sont aisément obtenus par ensemencement d’une surface de milieu gélosé à l’aide d’une pipette Pasteur (tube de verre stérile effilé à la flamme) qui permet de prélever l’inoculum, c’est à dire le matériel contenant les bactéries (produit pathologique ou culture antérieurement réalisée) et d’en assurer la dispersion sur la surface par frottement de la pointe de verre à la surface du milieu.
Si des précautions sont prises afin d’éviter la dispersion sur une surface déjà ensemencée, la densité des bactéries déposées sur le milieu est exponentiellement décroissante avec la surface de dispersion.
En fin de zone de dispersion les cellules sont isolées les unes des autres par une distance suffisante pour obtenir, après incubation à 37°C par exemple, des colonies clones.
J
JEJUNI :
K
KLEBSIELLA :
L
LACTOBACILLUS :
En bactériologie c’est un bacille du lait.
LEGIONELLA :
La légion est corps de troupe militaire.
En bactériologie, ce nom fut donné à un genre bactérien dont les premières souches ont été isolées de patients participant à la 56ème convention de l'American Légion.
LEPTOSPIRA :
Mot qui dérive du Grec leptos -e –on et qui veut mince, fin et du Latin spira –ae et qui veut dire une spirale et qui donne le nom Latin de Leptospira qui veut dire : une fine spirale.
Molécule formée de lipides et de polysaccharides, constituant important de la membrane externe des
bactéries à Gram négatif.
bactéries à Gram négatif.
Mot qui dérive du Latin liquefaciens et qui veut fondre ou surtout en bactériologie, liquéfiant.
LISTER (Lord joseph) :
Chirurgien britannique.
Il était connu beaucoup plus pour la vulgarisation de l'antisepsie dans la chirurgie post opératoire.
LISTERIA :
Mot créé en l'honneur du chirurgien Lord Joseph Lister (1827- 1912).
Isolé en 1948 dans le sang de bœuf chauffé par Sophier et Co.
LYSE :
Destruction ou dissolution de cellules ou de microorganismes
LYSOGÈNE :
Bactérie porteuse d’un bactériophage de façon cryptique (on parle de "prophages") et capable de produire des bactériophages dans les conditions appropriées.
LYSOGENIE :
Est un état dans lequel se trouve une bactérie qui a été infectée par un virus.
1 -Technique d'identification des bactéries, au sein d'une même espèce, en fonction de leur sensibilité aux différents bactériophages.
2 - Identificateur à l'intérieur d'une espèce : sur la base précédente une souche bactérienne est affectée à un sous-ensemble de l'espèce.
LYSOVARS :
Classification à partir des caractères de sensibilité aux bactériophages.
LYSOZYME :
M
MACERANS :
Quelque chose qui rend doux, qui amollie, qui humecte.
MAC CONKEY (Gélose de) :
Milieu sélectif, contenant du cristal violet et des sels biliaires.
Il est utilisé pour l'isolement des bacilles Gram (-) et plus particulièrement des Salmonella et des Shigella.
Voir milieu de Drigalski
MAC CONKEY (Gélose de) :
Milieu sélectif, contenant du cristal violet et des sels biliaires.
Il est utilisé pour l'isolement des bacilles Gram (-) et plus particulièrement des Salmonella et des Shigella.
Voir milieu de Drigalski
MELITENSIS :
Adjectif qui vient du Latin melitensis -is -e, et qui est relatif à l’ile de Malte.
Dans ce cas précis, il marque l’origine.
Voir : les Brucella et la brucellose
Voir : les Brucella et la brucellose
MEMBRANE FILTRANTE :
Membrane mince de cellulose ou de polymères synthétiques, ayant des pores de taille déterminée et utilisée pour retenir des micro-organismes.
MENINGITIDIS :
Nom Grec qui vient de meningis et qui veut dire inflammation des méninges.
Voir : Neisseria Méningitidis
MANNITOL-MOBILITÉ-NITRATES (Milieu de ) :
Milieu d'identification des enterobactéries par l'étude de l'utilisation du mannitol, de la recherche de la mobilité et de la recherche de la réduction des nitrates en nitrites.
Micro-organisme ayant un optimum de croissance entre 20 et 45°C.
MEVAG (Milieu pour l'Étude de la Voie d'Attaque des Glucides) :
Permet de caractériser les bactéries fermentaires (entérobactéries), les bactéries oxydatives (Pseudomonas) et les bactéries dites indiffèrentes (Brucella).
Voir : le milieu Hugh et Leifson
MEVAG (Milieu pour l'Étude de la Voie d'Attaque des Glucides) :
Permet de caractériser les bactéries fermentaires (entérobactéries), les bactéries oxydatives (Pseudomonas) et les bactéries dites indiffèrentes (Brucella).
Voir : le milieu Hugh et Leifson
Micro-organisme exigeant des quantités réduites (de 2 à 10%) d’oxygène pour leur croissance; une teneur atmosphérique normale en oxygène l’endommage.
Microscope convertissant de faibles différences d’indice de réfraction (par exemple différences de densité cellulaire) en différences observables d’intensités lumineuses.
L'objet observé apparaît contrasté sur fond clair.
Il fut développé en 1930, par le physicien Frederik Zernike (Prix Nobel de physique en 1953).
Il fut développé en 1930, par le physicien Frederik Zernike (Prix Nobel de physique en 1953).
Microscope où l’échantillon est fortement éclairé tandis que le fond est noir.
Mélange de substances utilisées comme nutriments pour la croissance et la multiplication des micro-organismes.
Un milieu de culture est composé d’un mélange de substrats nutritifs (acides aminés, peptides, bases nucléiques, sucres, etc.), d’un système tampon évitant les variations trop importantes de pH, de sels minéraux et de vitamines.
Les milieux de culture doivent être débarrassés des bactéries éventuellement présentes dans les ingrédients qui le composent ou dans les récipients qui le contiennent par stérilisation (habituellement à l’autoclave en atmosphère de vapeur d’eau chauffée à 120°C pendant 20 minutes).
Diverses adjonctions peuvent être faites pour favoriser ou permettre la croissance de bactéries exigeant des “facteurs de croissance” (vitamines, protéines, hémoglobine, etc.)
Les milieux complémentés les plus utilisés sont les milieux au sang (mouton ou cheval).
Placée dans ce milieu correspondant à ses besoins nutritifs, une population bactérienne peut réaliser ses synthèses de façon harmonieuse ; ceci se traduit par un accroissement pondéral de tous les constituants cellulaires (augmentation de la biomasse) et parallèlement du nombre de cellules.
L’augmentation de la biomasse se traduit dans un milieu liquide par l’apparition d’une turbidité visible à l’œil nu ou, dans le cas d’un milieu rendu solide par adjonction d’un gélifiant tel que la gélose, par l’apparition d’une accumulation de bactéries autour des bactéries initialement déposées à la surface du milieu (“colonie” bactérienne).
MILIEU DIFFÉRENTIEL
Milieu de culture permettant la distinction entre des groupes de micro-organismes sur la base de caractéristiques biologiques différentes.
Voir : milieu King A et King B
Voir : milieu King A et King B
Milieu de culture qui favorise la croissance de micro-organismes particuliers en limitant celle de micro-organismes indésirables ou en avantageant seulement celle des micro-organismes recherchés.
Voir : le milieu au sérum coagulé
Voir : le milieu au sérum coagulé
Milieu de culture qui favorise la croissance de micro-organismes particuliers en excluant celle des autres micro-organismes.
On ajoute des substances qui vont inhiber voir détruire la croissance des autres bactéries.
Voir : le milieu S.S, Milieu Muller-Kauffman,milieu E.M.B,
On ajoute des substances qui vont inhiber voir détruire la croissance des autres bactéries.
Voir : le milieu S.S, Milieu Muller-Kauffman,milieu E.M.B,
MIRABILIS
Ce nom de mirabilis a été donné à une espèce du genre Proteus, car elle présente le phénomène étonnant et singulier de l'essaimage
Voir : Protéus Mirabellis
Voir : Protéus Mirabellis
Nom qui vient du Latin monocytum -i, et qui veut dire un monocyte et du mot Grec gennao, qui veut dire produire, engendrer.
MONOTRICHE :
MORAXELLA :
MORGANII :
Nom créé en l'honneur du bactériologiste H. de R. Morgan (1863-1931).
Voir : Protéus Morgani
Voir : Protéus Morgani
Dans le cas d'un micro-organisme, virus ou parasite, état dans lequel une cellule de micro-organisme est incapable de répliquer son matériel génétique.
MUCOPEPTIDE (muréine, peptidoglycane) :
MULLER-HINTON (Milieu de ) :
Milieu de culture soit liquide ou solide, utilisé pour l'étude la sensibilité des bactéries aux antibiotiques.
Il est aussi utilisé pour l'isolement des Neisseria pathogènes
Milieu de culture soit liquide ou solide, utilisé pour l'étude la sensibilité des bactéries aux antibiotiques.
Il est aussi utilisé pour l'isolement des Neisseria pathogènes
MULLER-KAUFFMANN (Milieu de) :
Milieu de culture liquide, permet l'enrichissement sélectif des Salmonelles.
Utiliser dans la coproculture.
Milieu de culture liquide, permet l'enrichissement sélectif des Salmonelles.
Utiliser dans la coproculture.
Agent physique ou chimique causant des mutations.
Individu résultant d'une mutation.
Organisme qui a subi une mutation.
Organisme qui a subi une mutation.
Tout changement détectable et héritable du matériel génétique.
La mutation est transmise aux cellules filles et aux générations suivantes générant des cellules mutantes ou des individus mutants.
La mutation est transmise aux cellules filles et aux générations suivantes générant des cellules mutantes ou des individus mutants.
D’un point de vue moléculaire la mutation correspond à une modification de la séquence des nucléotides d'un gène bactérien (séquence d’ADN).
Un changement de la séquence des nucléotides modifie le produit du gène correspondant selon le principe de colinéarité entre ADN et protéines.
Interaction entre deux espèces dont chacune bénéficie de la relation avec l'autre et surtout qui lui est indispensable.
On peut dire que c'est une association intime.
On peut dire que c'est une association intime.
On emploie aussi le terme de symbiose.
MYCOBACTERIUM
Nom qui dérive du Grec myces -etis, qui veut dire un champignon et du Grec bakterion, qui veut dire une baguette.
En bactériologie, mycobactérium, veut dire un petit bacille qui ressemble à un champignon.
MYCOÏDE
Terme utilisé en bactériologie et qui veut dire soit similaire ou ressemble à un champignon.
Terme utilisé en bactériologie et qui veut dire soit similaire ou ressemble à un champignon.
MYCOPLASMES
Les mycoplasmes sont des procaryotes dépourvus de paroi.
Ceux sont des intermédiaires entre les bactéries et les virus.
Invisible au microscope optique.
Ils ont la faculté de se multiplier en dehors de toute cellule vivante.
Ceux sont des intermédiaires entre les bactéries et les virus.
Invisible au microscope optique.
Ils ont la faculté de se multiplier en dehors de toute cellule vivante.
N
NEISSER
Albert Neisser (22/011855 - 30/71916), médecin bactériologiste et dermatologue
NEISSERIA :
Groupe de bactérie créé en en l'honneur d'Albert Neisser.
NEISSERIA GONORRHOEAE (gonocoque) :
Bactérie responsable de la gonococcie chez l'homme.
NEISSERIA MENINGETIDIS (méningocoque) :
Bactérie responsable de la méningite, isolée dans le LCR par Weichselbaum en 1897
Interaction entre deux espèces où aucune espèce n’affecte l’autre.
On emploie aussi le terme de saprophytisme.
NOCARD:
bactériologiste Edmond Nocard (1850-1903).
NOCARDIA :
Groupe de bactéries créé en l'honneur du bactériologiste E. Nocard (1850 - 1903).
Les Nocardia appartiennent à la famille des actinomycètes à Gram (+).
Relatif aux hôpitaux ex : infection nosocomiale, infection acquise à l'hôpital.
Une définition à visée épidémiologique du terme " infection nosocomiale "existe par ailleurs, très extensive, elle est uniquement destinée à la surveillance épidémiologique ;
les critères de définition répondent au cahier des charges suivant :
1 - ils doivent être simples et facilement utilisables par des personnels ayant des niveaux de formation différents;
2 - ils doivent être le plus objectifs possible, et de ce fait, reproductibles lorsqu'ils sont utilisés par des observateurs différents ;
3 - ils doivent avoir une validité suffisante pour classer correctement les patients, dans la plupart des cas.
Son emploi est limité à la surveillance standardisée de routine de l'hôpital : " Une infection est dite nosocomiale si elle était absente à l'admission à l'hôpital.
Ce critère est applicable à toutes infections.
Lorsque la situation précise à l'admission n'est pas connue, un délai d'au moins 48 h après l'admission (ou un délai supérieur à la période d'incubation lorsque celle-ci est connue) est communément accepté pour séparer une infection d'acquisition communautaire d'une infection nosocomiale. Toutefois, il est recommandé d'apprécier dans chaque cas douteux la plausibilité du lien causal entre hospitalisation et infection. Pour les infections de la plaie opératoire, on accepte comme nosocomiales les infections survenues dans les 30 jours suivant l'intervention, ou -s'il y a mise en place d'une prothèse ou d'un implant- dans l'année qui suit l'intervention."
Le nom donné à une bactérie suit toujours les propositions de Linné.
Le premier mot, en italique et commençant par une majuscule, correspond au genre.
Le deuxième, également en italique est grammaticalement un adjectif, s’écrit sans majuscule, et définit l'espèce : Escherichia coli, Mycobacterium tuberculosis, Listeria monocytogenes, etc.
À coté du nom scientifique, une appellation vernaculaire peut subsister dans l’usage courant, ainsi Escherichia coli est aussi connu (dans la langue parlée) sous le nom de "colibacille".
En règle générale le nom scientifique doit être employé car lui seul est défini sans ambiguïté.
Actuellement, seuls ces deux niveaux taxinomiques sont retenus, mais c'est surtout la définition de l'espèce qui fait l'objet de recommandations précises du "Code International de Nomenclature des Bactéries".
O
ONPG (orthonitrophényl-béta-delta-galactoside) :
Permet d’étudier l’existence d’une galactosidase chez le germe, donc la possibilité de la fermentation effective du lactose et ce indépendamment de la perméase bactérienne.
(la galactosidase positive se traduit par l'apparition d'une coloration jaune).
Ethyl hydrocupréine.
Se présente le plus souvent en disque que l'on dépose dans un milieu de culture.
L'optochine inhibe la croissance des pneumocoques.
Enzyme permettant l'identification des entérobactéries
ÖSE OU ANSE (De l'allemand öse, subst. fém. ; anneau).
Anneau de métal ou de matière synthétique, habituellement d'un diamètre de 5 mm, fixé au bout d'une tige portée par un manche.
Anneau de métal ou de matière synthétique, habituellement d'un diamètre de 5 mm, fixé au bout d'une tige portée par un manche.
L'öse permet le transfert de colonies ou de liquides.
Dans ce dernier cas l'eau et les liquides aqueux sont retenus par capillarité dans l'anneau.
Pour un même liquide, le volume retenu est constant.
OVIS
Nom Latin ovis –is et qui veut dire brebis.
OXYDASE (di ou tétra-méthyle-para-phényléne-diamine) :
L'oxydase est une enzyme qui appartient à la chaine des transporteur d'électrons.
L'oxydase (+), se traduit par une coloration violette.
P
PAILLASSE
Plan de travail d’un laboratoire d’analyse ou de recherche.
PALLIDUM
Nom Latin qui veut dire, pâle, décoloré.
voir : Tréponème Pâle
voir : Tréponème Pâle
PARAPERTUSSIS
Nom qui vient du Latin para et qui veut dire ressemblant.
En bactériologie se mot veut dire, ressemblant à Bordetella pertussis.
PARATUBERCULOSIS
Ressemblant à la tuberculose
C’est l’enveloppe rigide qui assure l’intégrité de la cellule bactérienne et qui est responsable de la forme des cellules.
Elle protège la bactérie des variations de pression osmotique. Elle n’est absente que chez les Mollicutes.
En dehors de bactéries halophiles ou thermophiles (Archaea), la partie commune à toutes les parois bactériennes est le peptidoglycane (c’est le cas pour toutes les bactéries de l’environnement humain).
Pipette souple en plastique graduée à usage unique (qui peut être stérile).
La poire servant à aspirer le liquide est un prolongement de la pipette.
PASTEURISATION :
processus de traitement par chauffage de certains liquides tel que le lait afin de détruire les microorganismes pathogènes
Se dit d'un organisme ou d'une substance causant ou qui provoque une maladie.
PATHOTYPES
Voir : pathovars
PATHOVARS
Classification à partir des caractères pathogéniques
Voir : polymérisation en chaîne.
Macromolécule réticulée formée de chaînes polysaccharidiques (N-acétyl-glucosamine et Acide N-acétyl muramine) liées à des chaînes peptidiques inter connectées.
La macromolécule réticulée tridimensionnelle ainsi constituée est robuste et sa solidité dépend de l’importance des interconnexions.
La paroi de la bactérie est ainsi une unique macromolécule.
voir : Paroi Bactérienne
voir : Paroi Bactérienne
PERFRINGENS :
Nom latin qui veut dire, enfoncé, brêché.
PERITRICHE :
PERTUSSIS :
Nom latin qui vient de per qui veut dire sévère, et de tussis qui veut dire toux.
Se mot veut dire d’une toux sévère.
PESTIS :
Nom qui veut dire peste.
PHAGOCYTOPHILA :
Nom qui vient du grec phagein, qui veut dire manger et de cytos, qui veut dire cavité.
En bactériologie se mot veut dire amie des phagocytes ou aimant les phagocytes (les cellules qui mangent).
PILIFORME :
Nom qui vient du lation pilus qui veut dire poil et forma qui veut dire forme.
En bactériologie se mot veut dire en forme de poil.
PIPETTE PASTEUR :
Tube de verre d'un diamètre de 5 à 7 mm bouché à une extrémité par du coton cardé et effilé du côté opposé.
Elle peut être ouverte du côté effilé (prélèvement de liquides) ou fermée (boutonnée).
Une poire doit servir à aspirer le liquide si elle est utilisée ouverte.
Pour l'ensemencement orthogonal, la pointe est fermée et terminée par un bouton de verre (pipette Pasteur boutonnée).
PHASE VÉGÉTATIVE :
C'est la phase de croissance active, par opposition à la phase de repos ou phase sporulée
Phénomène paradoxal initialement observé en immunologie.
Pour les antibiotiques l'activité mesurée (bactériostase ou bactéricidie) varie de façon non proportionnelle à la concentration.
L'activité nulle de très faibles concentrations est remplacée par une activité détectable puis par une activité minime ou absente.
A de fortes concentrations l'activité redevient plus forte.
Ensemble des caractères d'un micro-organisme observables par l’expérimentateur.
Terme utilisé pour les espèces de mycobactéries qui produisent un pigment après exposition à la lumière, mais qui restent de couleur beige à l'obscurité.
Voir : scotochromogène.
ADN bi caténaire, circulaire, pouvant exister et se répliquer indépendamment du chromosome bactérien
ou y être intégrée.
ou y être intégrée.
Un plasmide est transmis aux cellules filles de manière stable, mais n’est requis ni pour la croissance ni pour la reproduction bactérienne.
PLEISIOMONAS :
Mot qui vient du grec plésios, qui veut dire voisin et de monas, qui veut dire unité.
En bactériologie se mot veut dire proche des aéromonas sp.
PLEUROPNEUMONIAE :
Nom qui vient du grec pleura, qui veut dire plève et pneumon, qui veut dire le poumon.
Mot qui veut dire pleuropneumonie
PNEUMONIAE :
Se mot qui dérive du grec pneumonia et qui veut dire une maladie des poumons.
PNEUMOPHILA:
mot qui vient du grec pneumon qui veut dire poumon et philos qui veut dire aimant.
Se mot veut dire, aimant le poumon.
Est un ensemble de règles servant à démontrer la relation de cause à effet entre un microorganisme et une maladie
POUVOIR BACTÉRICIDE:
Technique permettant d'apprécier l'effet de composés antibactériens présents dans un liquide biologique sur la vitalité de cellules bactériennes.
Habituellement il s'agit de l'étude de l'effet du sérum d'un malade sur la souche responsable de l'infection.
Le résultat comporte la dilution la plus grande du liquide biologique donnant une bactériostase et celle donnant une bactéricidie avec éventuellement une relation avec la durée de l'expérience.
Le parasitisme est une prédation obligatoire.
En microbiologie, acte permettant l'obtention d'un échantillon biologique.
Culture initiale d'un micro-organisme, d'un virus ou d'un parasite.
S'emploie aussi pour les cellules eucaryotes en culture.
PROCARYOTE :
On appelle procaryote des cellules dont leur matériel nucléaire n'est entouré d'aucune membrane.
PROPHAGE :
Acide nucléique viral intégré au chromosome bactérien et qui se réplique en même temps
PROPIONIBACTERIUM :
Nom qui vient du latin, acidum propionicum, qui veut dire acide propionique et du grec bakterion, qui veut dire une baguette.
En bactériologie, un petit bacille, qui produit de l'acide propionique
PROTEASE:
Enzyme capable de briser liaison peptidiques des protéines.
Sert à la classification des bactérie.
Voir : Gélatinase
PROTEASE:
Enzyme capable de briser liaison peptidiques des protéines.
Sert à la classification des bactérie.
Voir : Gélatinase
PROTEOLYTIQUES :
On appelle bactéries protéolytiques, les bactéries capables de dégrader les protéines en des substances très simples.
PROTEUS :
Nom qui vient du latin protéus et qui veut dire protée.
Le nom de Proteus a été donné à un genre bactérien car les souches de ce genre présentent une véritable métamorphose lors du phénomène de l'essaimage.
Mode d'interaction où deux espèces bactériennes bénéficient de l'interaction qui n'est pas indispensable.
PROTOPLASTE :
Bactérie qui a perdu sa paroi, mais non sa membrane cytoplasmique
PROTOTROPHE :
Organisme qui n’a pas besoin de facteurs de croissance pour croître et se multiplier
PSEUDOMONAS :
Nom qui vient du grec pseudes, qui veut faux et du latin monas qui veut dire unité.
Voir : Pseudomonas aéroginosa
Voir : Pseudomonas aéroginosa
PSEUDOTUBERCULOSIS :
Nom qui vient du grec pseudes et qui veut faux et du latin tuberculosis et qui veut dire tuberculose.
En bactériologie se mot veut dire d’une faussetuberculose.
PSITTACI :
Nom latin qui vient de psittacus et qui veut dire perroquet.
Micro-organisme ayant une bonne croissance à 0°C, un optimum de croissance à 15°C ou moins, et un maximum à environ 20°C.
PSYCHROPHILUM :
Nom qui vient du grec psychros qui veut dire froid et de philos qui veut dire aimant.
En bactériologie celui qui aime le froid.
Micro-organisme pouvant se développer à des températures basses (inférieures à 5°C) tout en ayant un optimum de croissance supérieur à 15°C.
PULLORUM :
Nom qui vient du lation pullus et qui veut dire poulet.
PULSOTYPE :
Marqueur épidémiologique du génotype caractéristique d'une souche bactérienne, déterminé par électrophorèse en champs pulsés. PUS :
C'est l'exsudat produit lors d'une infection bactérienne est qui contient du sérum, des bactéries, des cellules mortes et des leucocytes
PUTREFACIENS :
Mot qui dérive du latin putrefacio et qui veut dire pourrir, gâter… PUTRÉFACTION :
C'est la décomposition de protéines par des microorganismes et entraine le plus souvent une odeur malodorante
PYLORI :
Mot qui vient du grec pulôros et qui veut dire garde la porte, crée en réfèrence du pylore qui est l’orifice inférieur de l’estomac.
PYOGENES :
Nom qui vient du grec pyon et qui veut dire pus et de gennao, qui veut dire produire.
En bactériologie en parle de bactérie qui produit du pus.
Q
Q FEVER
La fièvre Q est une zoonose causée par Coxiella burnetii, une espèce de bactérie qui est distribué au niveau mondial.
La fièvre Q est une zoonose causée par Coxiella burnetii, une espèce de bactérie qui est distribué au niveau mondial.
R
Formation d’un complexe immun insoluble par le pontage de cellules ou de particules par les anticorps.
Amplification d’une séquence donnée d’ADN par des cycles de dénaturation, d’hybridation en présence d’amorces ADN bordant la séquence ciblée, et de polymérisation.
Ellipse de "phénomène de rebond".
Terme du langage parlé de laboratoire exprimant le fait qu'une bactérie, après avoir présenté une bactéricide induite par un antibiotique (chute du nombre de bactéries) se remet à croître jusqu'à dépasser la population initiale.
La tendance est de réserver son emploi lors d'une décroissance de durée brève (quelques heures).
La tendance est de l'employer quand la bactéricide s'est prolongée au delà de la phase précoce (4 - 6 heures).
1 - Action qui consiste à repiquer des cellules bactériennes, fongiques ou parasitaires d'un milieu dans un autre.
2 -Par extension le résultat de ce transfert, la plupart du temps des colonies d'un seul type génétiquement homogène.
REPIQUER
Transférer des cellules bactériennes, fongiques ou parasitaires d'un milieu de culture dans un autre.
Habituellement, ce terme sous-entend que le milieu initial ne permet plus la croissance des bactéries et que l'on transfère des cellules génétiquement homogènes.
RÉSISTANCE À LA MÉTICILLINE
RÉSISTANCE À LA MÉTICILLINE
S'emploie pour les souches de Staphylocoques résistantes à toutes les bêta-lactamines (dont les pénicillines). Historiquement la méticilline (qui n'est plus employée actuellement) permettait sa détection.
Elle est dite hétérogène car dans les conditions de cultures usuelles, seules une partie de la population bactérienne d'une souche de Staphylocoque aureus résistante est capable d'exprimer sa résistance aux bêta-lactamines. RÉSISTANCE ASSOCIÉE:
C’est la résistance d’une souche bactérienne à au moins deux antibiotiques différents, appartenant à des familles différentes, par des mécanismes indépendants dont leur présence concomitante chez la bactérie est de fréquence élevée. Les souches dites résistantes aux antibiotiques sont celles pour lesquelles il existe une forte probabilité d'échec thérapeutique quel que soit le type de traitement.
Voir : sensibilité et sensibilité intermédiaire aux antibiotiques.
La résistance à un antibiotique d'une souche bactérienne appartenant à une espèce habituellement sensible à cet antibiotique peut être acquise par une modification du capital génétique de la souche.
Cette modification peut être soit une mutation chromosomique, soit l'acquisition de plasmides de résistance.
La résistance d'une souche bactérienne donnée à un antibiotique peut être acquise par mutation d'un gène intéressant le mécanisme d'action de l'antibiotique.
Ce phénomène rare, spontané, se fait au hasard, est stable et héréditaire.
La résistance n'est pas transmise aux bactéries en dehors de la descendance.
C'est la résistance, par le même mécanisme, d'une souche bactérienne à deux ou plusieurs antibiotiques d'une même famille.
C'est un caractère de résistance pour une famille d'antibiotique, inné et présent chez toutes les souches appartenant à la même espèce bactérienne.
RÉSISTANCE PLASMIQUE (plasmidique) :
Résistance due à la présence d'un plasmide dans la bactérie. Dans une même bactérie, il peut y avoir plusieurs plasmides différents et plusieurs copies d'un même plasmide.
Cette résistance est transmise aux bactéries filles, mais n'est pas définitive.
En bactériologie se mot veut dire un cocciforme de couleur rouge.
RIBOSOME:
Organite de traduction du message génétique transmis par l'ARNm au cours de la synthèse protéique.
Caractère génétique (lié à la structure de l'ARN ribosomal) qui permet la l'identification d’une souche bactérienne à une espèce donnée et éventuellement l'identification infra spécifique.
RIBOTYPIE:
Méthode d'identification infra spécifique utilisée pour caractériser une souche bactérienne sur la base du polymorphisme de son ARN ribosomal.
Elle est utilisée dans le cadre de la taxinomie mais aussi pour des études épidémiologiques.
RICKETTS (Howard Taylor) (1871–1910) :
Il met en évidence l'agent pathogène du typhus, alors qu'il travaillé sur une autre maladie "la fièvre pourprée).
ROSE BENGALE (colorant) :
Colorant destiné au diagnostic sérologique de la brucellose (diagnostic qualitatif)
Voir : les Brucella
RICKETTS (Howard Taylor) (1871–1910) :
Il met en évidence l'agent pathogène du typhus, alors qu'il travaillé sur une autre maladie "la fièvre pourprée).
RICKETTSIA, RICKETTSII :
Nom donné en hommage à Ricketts et qui veut dire un genre nouveau ou une nouvelle bactérie.
RICKETTSIES :
Ont rencontre de nombreux types qui sont pathogènes tant pour l'être humain que pour les mammifères.
ROSE BENGALE (colorant) :
Colorant destiné au diagnostic sérologique de la brucellose (diagnostic qualitatif)
Voir : les Brucella
S
SALMON D.E :
Médecin vétérinaire américain
SALMONELLA :
Mot crée en l'honneur du bactériologiste D.E Salmon (1850.1914).
Mais le véritable découvreur du genre était téobald Smith.
Infection des voies intestinales causées par Salmonella
Mais le véritable découvreur du genre était téobald Smith.
SALMONELLES :
SALMONELLOSE : Infection des voies intestinales causées par Salmonella
Nom donné historiquement aux micro-organismes qui se développent aux dépends des matières organiques en décomposition.
Bactéries vivant en symbiose avec d'autres êtres vivants.
Terme utilisé pour les espèces de mycobactéries qui donnent des colonies pigmentées même en l'absence d'exposition à la lumière.
Voir: photochromogène.
SENSIBILITÉ Aptitude d'une méthode à différencier les réponses fournies par deux échantillons de concentration voisine.
Les souches sensibles sont celles pour lesquelles la probabilité de succès thérapeutique est acceptable dans le cas d'un traitement par voie systémique avec la posologie recommandée.
Voir : résistance et sensibilité intermédiaire aux antibiotiques.
SENSIBILITÉ INTERMÉDIAIRE AUX ANTIBIOTIQUES :
Les souches intermédiaires sont celles pour lesquelles le succès thérapeutique est imprévisible.
Les souches intermédiaires sont celles pour lesquelles le succès thérapeutique est imprévisible.
Ces souches forment un ensemble hétérogène pour lequel la seule valeur de la CMI n'est pas prédictive de succès thérapeutique.
Voir : résistance et sensibilité aux antibiotiques.
SEPTICÉMIE :
Maladie systémique causée par l’invasion et la multiplication de microorganismes pathogènes dans la circulation sanguine
Voir : Bactériémie
Voir : Bactériémie
SEPTICUM :
Nom qui vient du grec septicum et qui veut dire putréfaction.
SERRATIA :
Nom crée en l'honneur de l'ingénieur S. Serrati (18e siècle).
SÉROLOGIE :
1 - Branche de l’immunologie concernée par l'étude des sérums, de leurs propriétés et de leurs applications.
2 -Techniques de réactions in vitro faisant intervenir un ou plusieurs constituants du sérum (ex: les anticorps ou le complément).
SÉRUM :
SERUM COAGULE (milieu) :
Milieu utilisé pour l'identification de bactéries protéolytiques ou favoriser la croissance de celles de type Corynébactérie (C. diphteriae) ou encore utilisé pour la pigmentation.
Collection des sérums des patients d'un laboratoire.
S'emploie également dans le cas des sérums de référence utilisés pour typer les micro-organismes, virus ou parasites.
Technique ou procédé sérologique qui est utilisé pour distinguer des souches de micro-organismes (sérotypes ou sérovar) présentant des différences dans la composition antigénique d’une structure ou d’un produit.
SÉROTYPE :
Voir : sérovar
SÉROVARS :
1- ensemble des réactions immunologiques observées pour une souche de micro-organismes, de virus ou de parasites.
2- Identificateur dans une espèce : sur la base des réactions immunologiques observées, une souche de microorganismes, de virus ou de parasites est affectée à un sous-ensemble de l'espèce.
SH2 (Hydrogène sulfuré) :
Production liée au catabolisme d'acides aminés soufrés, contenues dans des milieux peptonés.
Il se forme un sulfure noir immédiatement visible.
Caractère d'identification des entérobactéries.
Voir : le milieu de Kliger-Hajna
SH2 (Hydrogène sulfuré) :
Production liée au catabolisme d'acides aminés soufrés, contenues dans des milieux peptonés.
Il se forme un sulfure noir immédiatement visible.
Caractère d'identification des entérobactéries.
Voir : le milieu de Kliger-Hajna
SHIGELLA :
Nom crée en l'honneur du bactériologiste K. Shiga (1871-1951).
SHIGELLOIDES :
Nom qui vient du lation Shigella et qui veut dire un genre bactérien et du grec eides qui veut dire similaire.
En bactériologie se mot veut dire ressemblant au genre shigelle en parlant ici de l’espèce plesiomonas shigelloide.
SIMMONS (Milieu) :
Seules la bactéries possédant une citrate perméase peuvent se développer sur se milieu.
Voir : la fiche technique de la recherche de la Citrate Perméase
SIMMONS (Milieu) :
Seules la bactéries possédant une citrate perméase peuvent se développer sur se milieu.
Voir : la fiche technique de la recherche de la Citrate Perméase
Fragment d’acide nucléique marqué, qui s’hybride avec des fragments d’ADN complémentaires et qui sert à les localiser et à les isoler dans un mélange.
SONNEI :
Nom crée en l’honneur de Carl Sonne (1845-1913):
Groupe d’individus en principe génétiquement homogènes (clones).
En bactériologie, la souche est une succession de culture qui dérivent d'une culture de départ qui est pure (on obtient dans des milieux solides des colonies parfaitement isolées).
En bactériologie, la souche est une succession de culture qui dérivent d'une culture de départ qui est pure (on obtient dans des milieux solides des colonies parfaitement isolées).
SOUCHOTHÈQUE :
Collection de micro-organismes, de virus ou de parasites maintenus en survie (biothèque).
Ce terme est synonyme de collection de micro-organismes, de virus ou de parasites.
Il n'est employé que pour différencier les collections présentes dans un même laboratoire.
SOUS-ESPÈCE BACTÉRIENNE :
C’est le plus petit taxon, actuellement reconnu
Fil de métal porté par un manche et dont l'extrémité martelée a pris une forme évasée.
La spatule sert à prélever des fragments de colonies ou les parties d'un organe à soumettre à examen.
Terme utilisé pour préciser qu'on a identifié une souche jusqu'au niveau du genre seulement et qu'elle peut appartenir à n'importe quelle espèce du genre (ex : Staphylococcus sp = species).
Locution employée pour désigner une espèce nouvellement créée.
Terme employé pour désigner l'ensemble des espèces d'un genre (ex : Staphylococcus spp = species plurial).
La spécificité d'un dosage est son aptitude à mesurer l'analyse désirée et seulement celui-ci, même si des substances de structure proche se trouvent en quantité importante dans l'échantillon.
SPIRALÉE :
Morphologie caractéristique des bactéries de type spirochète telles Treponema, Leptospira, Borrelia.
Voir : Spirochète
SPIRALÉE :
Morphologie caractéristique des bactéries de type spirochète telles Treponema, Leptospira, Borrelia.
Voir : Spirochète
Nom qui vient du grec speira et qui veut dire spirale, en forme d’une petite spirale.
SPIROCHÈTE :
En forme de spirale flexible, avec des flagelles placés à l'intérieur du périplasme.
SPORE :
Certaines bactéries, entre autres d’intérêt médical (genre Clostridium et Bacillus), ont la propriété de se différencier en formes de survie appelées spores.
Les spores sont très résistantes à la température (plusieurs heures à 100°C), aux rayonnements, aux agents chimiques (antiseptiques, désinfectants) et au temps (survie atteignant plusieurs siècles).
En bactériologie ce mot veut dire, des cocci groupées en grappes de raisins.
Voir : Staphycoques Auréus
Voir : Staphycoques Auréus
STÉRILE :
Dépourvu de toute forme de vie (mais pouvant contenir des cellules mortes de micro-organismes ou leur DNA).
Destruction des micro-organismes qui existent à la surface ou dans l'épaisseur d'un objet quelconque (instrument, vêtement...), par des moyens physiques (chaleur sèche ou humide, irradiation) ou chimiques (antiseptiques).
STOMATIS :
Nom qui vient du grec stoma et qui veut dire bouche ou de la bouche en bactériologie.
STREPTOBACILLUS :
Nom qui vient du grec streptos et qui veut dire recourbé ou contourné et du latin bacillus qui veut dire un petit bâton.
En bactériologie ce mot veut dire un bacille tordu ou courbé.
STREPTOCOCCUS:
Nom qui vient du grec streptos et qui veut dire recourbé ou contourné et du grec coccos et qui veut dire grain.
En bactériologie se mot veut dire ou évoque des chaînes flexueuses formées par quelques espèces du genre.
STERILE :
En bactériologie : dépourvu de toute forme de vie
STÉRILISATION :
Action de rendre stérile ; destruction de toute forme de vie par différents procédés, chimiques, physiques ou autres.
Toute variation des paramètres physico-chimiques (température, acidité, concentration en sel etc.) de l'environnement des microorganismes capable d'affecter leur survie à court et à long terme.
Culture obtenue après un isolement ou une culture précédente. La subculture peut être celle d'un micro-organisme, d'un virus ou d'un parasite mais aussi celle de cellules eucaryotes.
Substance sur laquelle agit une enzyme et qui sera transformée en un ou plusieurs autres produits.
SUBTILIS :
SUBTILIS :
Mot qui vient du lation subtilis et qui veut dire soi fin, menu, doux délicat…
SUIS :
Nom qui vient du lation sus suis et qui veut dire d’un porc
SURVIVANT :
On appelle en bactériologie "survivant", une bactérie capable de se multiplier, après avoir été exposée à une concentration bactéricide d'antibiotique.
Le survivant est génétiquement identique à la cellule parentale.
Effet d'une association d'antibiotique (bactériostase ou en bactéricidie) qui apparaît supérieur à celui prévisible par la simple addition des effets de chacun des antibiotiques isolés.
SYSTÈME BINOMINAL :
SYPHILIS :
Maladie vénérienne causée par Treponema pallidum
Voir : Tréponème Pâle
Voir : Tréponème Pâle
SYSTÈME BINOMINAL :
Système de nomenclature dans lequel un micro-organisme reçoit deux noms : le premier avec une Majuscule est le nom de genre, le second sans majuscule est le nom d'espèce.
Voir : Classification bactérienne
Voir : Classification bactérienne
T
TARDA :
Mot qui vient du latin tardus et qui veut dire lent.
En microbiologie se mot est relié au groupe d’Edwardsiella tarda, et utilisé pour cette bactérie qui acidifie que quelques sucres.
On mesure la rapidité de croissance par le temps mis pour une bactérie pour se diviser (temps de génération), qui est aussi le temps que met une population bactérienne pour doubler (temps de doublement).
Le taux de croissance correspond à l’inverse d’un temps de génération.
Probabilité de survenue d'une mutation au cours d'une génération bactérienne.
Science de la classification biologique, comprenant trois parties : classification, nomenclature et identification.
Groupement des unités taxinomiques par des méthodes statistiques en taxons sur la base des états de leurs caractères.
TAXON :
Groupe dans lequel des organismes apparentés sont classés.
C’est la base de la classification de l’espèce bactérienne.
TRYPTOPHANE DÉSAMINASE (TDA) :
Recherche servant d'identification des enterobactéries et plus particulièrement celles des protéus-providencia
TELLURITE (milieu au) :
Le tellurite est un sel de métaux lourd qu'on ajoute dans une gélose et sert à l'identification des streptocoques du groupe D.
TRYPTOPHANE DÉSAMINASE (TDA) :
Recherche servant d'identification des enterobactéries et plus particulièrement celles des protéus-providencia
TELLURITE (milieu au) :
Le tellurite est un sel de métaux lourd qu'on ajoute dans une gélose et sert à l'identification des streptocoques du groupe D.
Se dit de l'activité bactéricide d'un antibiotique qui, déterminée pendant la phase précoce, est très influencée par le temps d'action.
Elle augmente peu ou pas avec la concentration d'antibiotique dès lors que celle-ci est bactéricide.
TEMPS DE GÉNÉRATION :
On appelle temps de génération, l'intervalle de temps entre deux divisions cellulaires
On appelle temps de génération, l'intervalle de temps entre deux divisions cellulaires
Voir : taux de croissance
TETANI
Mot qui vient du latin tetanus et qui veut dire crampe.
Disposition caractéristique de certaines espèces telle Sarcina lutea.
Se dit d'un micro-organisme qui peut se développer à des températures élevées, pouvant atteindre 50°C et plus
THIONINE :
Colorant pouvant être bactériostatique à certaines concentrations (identification des Brucella).
TETANOS :
Maladie causée par la toxine de Clostridium tétani
Voir : Bacille Tétanique
TÉTRADE : Voir : Bacille Tétanique
Disposition caractéristique de certaines espèces telle Sarcina lutea.
THERMOLABILE :
Se dit d’une substance ou d’un composé détruit par la chaleur à des températures inférieures à 100°C
THERMOSTABLE :
Se dit d’une substance ou d’un composé relativement résistant à la chaleur ou à des températures inférieures à 100°C
THERMOPHILE Se dit d'un micro-organisme qui peut se développer à des températures élevées, pouvant atteindre 50°C et plus
THIONINE :
Colorant pouvant être bactériostatique à certaines concentrations (identification des Brucella).
Inverse de la dilution d'un sérum (ou d'un liquide biologique) pour laquelle une réaction immunologique devient indétectable.
Comportement anormal d'une bactérie en présence d'un antibiotique habituellement bactéricide.
L'activité bactéricide est diminuée, voire abolie, alors que l'activité bactériostatique est inchangée.
La tolérance peut être génétique, naturelle (Enterococcus et ampicilline) ou acquise (S. aureus ou S. pneumoniae et bêta-lactamines).
Dans ce dernier cas, la souche est désignée comme tol+
La tolérance peut être phénotypique ; certaines conditions de culture peuvent entraîner la tolérance (croissance lente, bactéries dormantes).
TOXEMIE :
Présence de toxine dans le sang
TOXINE
Les toxines sont des protéines produites par les bactéries (soit sécrétées, soit libérées par la lyse bactérienne), qui vont agir à un site cellulaire précis du sujet infecté, différent pour chaque bactérie toxinogène ; ces caractéristiques les opposent à l’endotoxine.
L’activité des toxines protéiques est inhibée par des anticorps spécifiques (antitoxines), ce qui peut être utilisé pour le traitement.
Cependant, les antitoxines ne peuvent agir sur la toxine fixée sur son récepteur, ce qui limite l’intérêt de l’immunothérapie.
Enfin, dans certaines conditions, le traitement des toxines protéiques par un traitement entraînant une polymérisation (formol et chaleur) fait perdre à ces molécules leur pouvoir toxique tout en conservant leur antigénicité : ce sont les anatoxines.
Ceci est à la base de la vaccination contre certaines infections, comme la diphtérie ou le tétanos.
TRACHOMATIS
nom qui vient du grec trachytes et qui veut dire rugosité et du latin trachoma qui veut dire trachome.
Se mot veut dire conjonctivite granuleuse en parlant du trachome.
TRANSDUCTION :
Transfert de matériel génétique d’une bactérie à une autre par l’intermédiaire d’un virus
C’est le transfert d'un fragment d'ADN d'une bactérie donatrice à une bactérie réceptrice. L’ADN d’une bactérie donatrice, libéré naturellement lors d’une lyse bactérienne, est transféré sous forme libre à une bactérie réceptrice.
La bactérie réceptrice doit être dans un état réceptif, dit de compétence, caractérisé par la présence de récepteurs spécifiques de l’ADN à la surface bactérienne.
Ce phénomène n’a été mis en évidence que pour quelques espèces.
La transformation est cependant un processus fréquent chez certaines espèces à Gram positif (Streptococcus, y compris Streptococcus pneumoniae, Bacillus, etc.) mais s’observe aussi chez certaines bactéries à Gram négatif (Haemophilus, Neisseria, Moraxella).
TRANSPOSON
Fragment d'ADN mobile, capable de s'intégrer au génome de cellules hôtes, de se transposer d'un point à un autre de ce génome et de produire des mutations.
TREPONEMA
Mot qui vient du grec trepo et qui veut dire tourner et de nema qui veut dire un fil.
En bactériologie se mot veut évoquer les mouvements de torsion lors des déplacements de cette bactérie.
TUBERCULOSIS
Mot qui vient du latin tuberculosis et qui veut dire tuberculose
Voir : Mycobactérium tuberculosis (part1) et (part2)
Voir : Mycobactérium tuberculosis (part1) et (part2)
TULARENSIS
Mot qui relatif au comté de Tulare situé en Californie – USA, ou la tularémie a été décrite pour la première fois.
TYNDALLISATION :
Stérilisation discontinue
Identification infraspecifique (a l'intérieur d'une espèce) de bactéries, virus parasites ou mycètes
Voir : sérotypage, ribotypage, lysotypage...
TYPHI
Mot qui vient du grec typhos et qui veut dire torpeur et du latin typhus qui signifie enflure, arrogance… En bactériologie se mot veut dire fièvre typhoïde.
TYPHIMURIUM
Fièvre typhoïde des rats
U
Abréviation d’Unité Formant une Colonie (en anglais, CFU, Colony Forming Unit).
C'est l'unité utilisée pour dénombrer les cellules, bactéries ou parasites viables.
Une UFC correspond à une colonie observée mais peut correspondre à plusieurs cellules si elles restent agrégées lors du dénombrement.On parle habituellement d'une concentration en "colonies/ml" mais il s'agit en fait d'UFC/mI.
En virologie, on emploie le terme d'Unité Formant Plage (UFP) avec la même signification.
URÉE - INDOLE (milieu) :
Milieu d'identification et de diagnostic des entérobactéries.
V
VACCIN :
Suspension de microorganismes pathogènes tués ou atténués, ou de leurs produits, utilisée pour provoquer une réponse primaire chez un individu et l’immuniser contre l’agent administré.
VACCINATION (immunisation) :
Inoculation avec un vaccin afin de produire une réponse immunitaire, pour créer un état de résistance contre cette maladie.
VECTEUR :
Le vecteur est un organisme qui va transfèrer des agents pathogènes d'un hôte à un autre.
Le vecteur ne provoque pas lui-même la maladie.
Le vecteur est un organisme qui va transfèrer des agents pathogènes d'un hôte à un autre.
Le vecteur ne provoque pas lui-même la maladie.
VIBRIO :
Dérive du Latin vibrio et qui veut dire celui qui vibre, qui bouge rapidement.Voir : Vibrion Cholérique
VIBRION CHOLÉRIQUE :
Bactérie en forme de virgule, responsable du choléra, maladie épidémique transmise surtout par les mains sales
VIOLET DE GENTIANE :
Colorant de couleur violette utilisé dans la technique de la coloration de Gram et il représente le 1e temps de la coloration.
Les germes à Gram (+), gardent le violet de gentiane et apparaissent en violet
Voir : Coloration de Gram
VIREMIE :
C'est la présence de virus dans le sang
VIRIDANS :
Dérive du Latin viridans (de virido), qui veut dire devient vert.
VIROLOGIE :
C'est la science qui étudie les virus
VIRULENCE :
On appelle la virulence, la capacité que possède un microorganisme pour provoquer ou déclencher une maladie
VIRUS :
Agent parasite intracellulaire obligatoire, beaucoup plus petit que les bactéries
VOGES-PROSKAUER (V.P) :
La réaction de V.P, nous permet l'identification des bactéries capables de dégrader les pyruvates en acétoïne de celles qui ne le dégradent pas.
Elle nous permet de diffférencier les Klebsiella, Enterobacter, Serratia Ewingella des autres entérobactéries et les Proteus vulgaris (VP -) de Proteus mirabilis (VP +).
Voir : la recherche de l'Acetyl-Methyl-Carbinol.
VULGARIS :
Dérive de l’adjectif latin vulgaris et qui veut dire : commun ou banal.
Voir : Protéus Vulgaris
Voir : Protéus Vulgaris
W
WIDAL (Sérodiagnostic de) :
Sérodiagnostic initial pour les affections typhoïdiques utilisant des suspensions bactériennes vivantes.
Sérodiagnostic initial pour les affections typhoïdiques utilisant des suspensions bactériennes vivantes.
Le sérodiagnostic de Widal est basé sur la recherche des agglutinines O et H.
Le sérodiagnostic de Widal est un excellent examen, à condition de bien l’interpréter.
WIDAL - FELIX (Sérodiagnostic de ) :
Sérodiagnostic des fièvres typhoïdes et para-typhoïdes .
Le sérodiagnostic de Widal et Félix met en évidence, dans le sérum des sujets atteints, des anticorps dirigés contre les antigènes des salmonelles en cause.
La technique utilisée est une réaction d'agglutination, par les anticorps spécifiques contenus dans le sérum du patient, d'une suspension de salmonelles tuées mais ayant conservé l'une de leurs spécificités antigéniques (O ou H).
WRIGHT (Sérodiagnostic de) :microbe-edu.org |
Le Wright est la méthode de référence dans le diagnostic des brucellose.
Voir : les Brucelloses
X
XYLÈNE :
Le xylène est un liquide peu volatil, transparent et incolore, à odeur aromatique.
Le xylène est un liquide peu volatil, transparent et incolore, à odeur aromatique.
Y
YERSINIA :
Groupe de bactéries de la famille des entérobactéries et qui regroupe trois espèces principales, pathogènes tant pour l'homme que pour l'animal et des espèces non pathogènes.
Voir : Yersinia pestis, Yersinia enterocolitica et Yersinia pseudotuberculosis
Z
microbe-edu.org |
Ce mot reste cependant employé en mycologie.
ZYMOTYPES :
Voir : zymovars
ZYMOVARS :
Classification à partir des caractères enzymatiques